Allez vite voir le site de mise en garde contre les dangers du DHMO. Ce composé à la limite entre la chimie organique et la chimie minérale est totalement négligé par les pouvoirs publics. Un extrait de la FAQ :

Parmi les périls du monoxyde de dihydrogène on peut citer :

Des décès dûs à l’inhalation accidentelle, même en faibles quantités
L’exposition prolongée à sa forme solide entraîne des dommages graves des tissus.
L’ingestion en quantités excessives donne lieu à un certain nombre d’effets secondaires désagréables, bien que ne mettant pas habituellement en cause le pronostic vital.
Le monoxyde de dihydrogène est un constituant majeur des pluies acides.
Sous forme gazeuse, il peut causer des brûlures graves.
Il contribue à l’érosion des sols.
Il entraîne la corrosion et l’oxydation de nombreux métaux.
La contamination de dispositifs électriques par du DMHO entraîne souvent des court-circuits.
Sa présence, même en quantité réduite, diminue l’efficacité des freins automobiles.
Il a été trouvé dans des biopsies de tumeurs et lésions pré-cancéreuses.
Il est souvent associé aux cyclones mortels survenant notamment dans le centre des États-Unis.
Des variations de température du monoxyde de dihydrogène sont soupçonnées de contribuer au phénomène climatique El Niño.